Je continue la rédaction du tome 5 de Mona Harker. J’ai bien avancé hier et aujourd’hui, mais ça résiste encore un peu. J’ai des problèmes d’internet (je poste ce billet depuis mon téléphone en 5G, merci la freebox). J’erre dans les étages à la recherche de… j’ai oublié quoi. Je viens de me casser une bouteille d’huile (pleine) sur les pieds. (ce fut épique, M. Munich a adoré). Et c’est même pas mes ragnagnas.
bref, l’univers me dit de rester couchée, mais comme je suis dure de la feuille, je continue malgré la dissonance bizarre. Parfois il faut s’obstiner, c’est juste de la résistance de surface. (Ça arrive aussi que ca résiste pour de vrai, à cause d’un mauvais embranchement pris dans l’histoire, mais ce n’est pas ce qui arrive ici. Ce qui arrive maintenant est de l’ordre de la coquille géante, mais ça va se tasser.)
parfois c’est une idée géniale qui couve, mais elle ne se fera pas connaître avant que vous ayez écopé le demi litre d’huile d’olive sous les meubles de la cuisine. (Et dormi un peu).
tout ça est parfaitement NORMAL et je ne vais même pas essayer de comprendre les bugs de mise en page de mon site WordPress.
Mona est dans la mouise jusqu’au cou, j’aime bien la voix de Seb, Trevor en pantalon pattes d’eph c’est perturbant. Elsie est fidèle à elle-même. Hugs aime toujours bien le bacon. Voilà c’est tout, bonne nuit :)😘