Les 5 premiers livres de ma série de witch-lit parisienne sont désormais disponibles sur Google Play Books.
En fait, c’était ultra simple de les y uploader, et je n’ai aucune raison de ne pas continuer avec le reste de mon catalogue. Il faut juste que je trouve les miettes de temps disponibles à droite et à gauche. Ce sera peut-être un peu chaud cet été.
Voici donc les liens vers Google Play Books pour les personnes que ça intéresse :
Tome 1 : Le reflet (CE LIVRE EST GRATUIT)
Alex, consultante toujours polie, et son rugueux collègue Camille ratent le dernier train après un rendez-vous client. Les voilà condamnés à passer la nuit dans une petite ville bien trop accueillante pour être tout à fait honnête.
Les habitants ont quelque chose à cacher, et c’est aussi le cas de Camille. Il est le petit dernier d’une grande famille de sorciers et il aurait mieux fait de rentrer chez lui pour un rituel de protection, comme sa tante Clothilde le lui demandait.
Seule à pouvoir le sortir d’une situation épineuse, Alex doit prendre un cours de magie express par téléphone et… improviser.
Mages de la rue Monge est une série de fantastique / witch-lit parisienne excentrique, avec une touche (juste une touche) d’horreur, parfois.
Et il faut encore que j’ajoute le hors-série d’Halloween (Le démon) avec Sibylle, Lisa et Tante Cloclo. Et que je me penche sur la question des précommandes pour le tome 6 qui doit paraître fin septembre. Toutes les informations sur cette série de witch-lit parisienne et excentrique sont normalement ici.
Les tomes 1 (gratuit) et 2 et Le démon sont des novellas (25 à 35 000 mots, autrement dit, de très courts romans de 140 pages à peu près), le tome 4 est « pas trop long » et les tomes 3 est 5 sont des maxi pavés cale-porte. Mais c’est rien à côté du tome 6 qui arrive et qui sera une sorte de conclusion.
Juste une précision en passant. Quand je dis que c’est parisien, parfois je me demande ce que ça représente pour vous. Mon Paris, bien sûr, ce n’est pas le Paris de carte postale des films hollywoodiens où la Tour Eiffel est détruite à 71% du film et on la voit exploser depuis les tours de Notre-Dame tandis que le célèbre Stryge de Viollet-le-Duc se prend la tête entre les mains d’un air dégoûté. Ce n’est pas non plus le Paris un brin arrogant des vacanciers jmenfoutistes en mode après-moi-le-déluge, j’écris mon journal de confinement et j’adooore les produits régionaux.
C’est juste… mon Paris, gentiment bondé, un peu sublime et un peu crado, branché sur les autres espèces, économiquement intenable, vaguement européen. Et aussi un poil germanopratin, parce qu’on ne sort pas tellement de Paris intra-muros à part pour des activités très spécifiques, comme vendre des packagings de crèmes glacées, s’enfuir chez ses parents, atterrir dans des petites villes sataniques, acheter de la layette multicolore ou s’enterrer dans la forêt entre deux festins de tartiflette. Bref. Vous voyez quoi, ça reste bien bien parigot mais gentiment 😀 En tout cas surtout, mon Paris a une face pile, et il grouille de créatures surnaturelles !! J’espère que ma famille de mages vous plaira. XX